- Edito, Nicolas CHAMBON
- Les traumas des enfants victimes de violences : un problème de santé publique majeur, Muriel SALMONA
- Les cellules d’urgence médico-psychologique, Nathalie PRIETO
- Prise en charge des troubles post-traumatiques, Wissam EL-HAGE
- Le psychotrauma complexe : diagnostic et prise en charge, Olivier FOSSARD et Samia LAHYA
- Traumatisme infantile et adversités dans l’enfance chez les auteurs d’agressions sexuelles, Sabine MOUCHET-MAGES et Olivier PLANCARDE
- Stress post-traumatique et alliance thérapeutique auprès de mineurs non accompagnés, Sydney GAULTIER
- Psychotraumatisme : aperçu des politiques publiques actuelles, Marianne AUFFRET
- Soigner les effets post-traumatiques, Omar GUERRERO
- La situation traumatisante des réfugiés, Olivier DOUVILLE
- Accueillir un récit de vie, Élodie GODARD
- La demande d’asile : un accompagnement qui ne laisse pas indemne, Sophie DEVALOIS
- « Il faut du psy ! ». Psychologues et psychiatres face aux migrants précaires, Roman PETROUCHINE, Julia MAURY DE FERAUDY et Halima ZEROUG-VIAL
- Repenser les conséquences et la prise en charge psychologiques des traumatismes dans des contextes fragiles, Maximilien ZIMMERMANN
- Traumatisme et résilience, Boris CYRULNIK
- Les ressources relationnelles, un moteur de vie, Vicky VANBORRE
- Traumatismes et psychoses en questions, Pénélope LAURENT-NOYE
- Penser la haine après le trauma, Élise BOURGEOIS-GUERIN, Mathieu BRAMI et Cécile ROUSSEAU
- « Paroles, expériences et migrations », Vincent TREMBLAY, Gwen LE GOFF et Natacha CARBONEL
- L’expérience d’un groupe de parole autour des enjeux de la migration, Fidèle MABANZA
- Sindiane, un programme communautaire pour personnes migrantes arabophones, Caroline AUBAS, Olga LORIS, Julien GRARD et Aurélie TINLAND
Artiste du numéro : Ylag
Ylag travaille au pastel sec noir sur papier. Il s’agit d’atteindre des intensités de noir extrêmes, quasi photographiques, en faisant éclater le blanc du papier. Fentes optiques, carré flottant et lumineux, façade architecturale à construire : la lumière y est rasante, éblouissante ou bien recroquevillée sur un monde intérieur abstrait. L’artiste aime travailler sur ces grands immeubles en devenir, ou bien en phase de destruction. Le graphisme de leur structure crée des espaces sans fin où peuvent se cacher des organismes étranges. Çà et là, des villes imaginaires s’illuminent et puis s’effondrent.
« C’est une tentative de créer l’émotion sur la base du dessin pur, par un travail abstrait, monochrome et que j’espère rigoureux. »
ylag.fr
yl-argall@orange.fr