- La fratrie, un jeu d’enfant ?, Gwen Le Gofff
- Sociologie des fratries : entraide et différenciation, Jean-Hugues Déchaux
- La place de la fratrie dans l’exil adolescent, Sydney Gaultier
- Unis à tout prix, Valérie Geay, Pauline Herault, Héloise Humeau et Jimmy Herly
- « Cosette » à Fratrie-Land, Lotfi Bechellaoui
- Salut à toi, ô mon frère, Nicolas Chambon
- « C'est très bien que mon frère soit là », Frédéric Chambon
- « Prendre le relais » : quelques ressorts de l’implication des frères et soeurs d’adultes en situation de handicap mental, Sarah Yvon
- La fratrie, une voie pour le rétablissement, Hélène Davtian et Marie Koenig
- Psychoéducation à destination des aidants : les frères et sœurs, les grands oubliés ?, Romain Rey
- La fratrie dans la prise en charge des mineurs de retour de zone d’opérations de groupements terroristes, Leïla Férault, Alessandra Mapelli et Maurween Veyret-Morau
- Greffe de moelle osseuse et opacité du consentement de l’enfant, Mathilde Pagnat
- La fratrie à l’épreuve du placement, Serge Epalle
Résumé du numéro :
Ce numéro de la revue Rhizome thématise certaines des épreuves vécues par les fratries : les placements, les violences, l’exil, le retour de zone de guerre, le handicap, les ruptures ou encore les recompositions familiales. Directement ou indirectement concernées par les vulnérabilités psychiques ou sociales, les frères et sœurs sont aussi des personnes ressources. La lecture des articles nous invite à porter une attention particulière aux frères et sœurs, à proposer des espaces thérapeutiques dédiés, des outils de psychoéducation et plus généralement à « prendre soin des fratries ».
Artiste du numéro : Cécile Veilhan
Dès son plus jeune âge Cécile Veilhan se consacre au dessin et à la peinture, et c’est
en 1994, l’année de ses 29 ans, qu’elle réalise sa première exposition à la galerie
Much, à Nantes. Elle travaille depuis avec de nombreux galeristes, en France comme
à l’étranger. De sa formation artistique, elle retient en particulier l’apport précieux
de son année passée à l’Atelier du Marais à Nantes, qui aura été pour elle l’occasion
de développer sa technique picturale. En parallèle, elle cultive son imagination et,
curieuse de la vie, part seule pour un long voyage en Inde ; une expérience éblouissante
dont elle gardera, notamment, un rapport affectif à la couleur.
Avant de s’installer dans son atelier, c’est chez elle qu’elle peint, entourée de ses
trois enfants, de ses amis, de l’école proche, autant de sources d’inspiration pour
elle qui aime piocher dans les petites scènes de l’existence. Aujourd’hui encore,
les scènes de la vie quotidienne restent sa principale source d’inspiration.
Sa peinture sensible en exprime toute la saveur.